Karine Le Marchand : ’L’Amour est dans le pré’ n’est pas de la téléréalité

Sipa

Alors que la treizième saison de ’L’Amour est dans le pré’ arrive sur Antenne Réunion ce mardi 21 août à partir de 19h50 sur vos écrans, Karine Le Marchand s’est laissée à quelques déclarations.

Docu-réalité

Dans une interview accordée au Parisien, Karine Le Marchand affirme que son émission est tout sauf de la téléréalité : "dans la téléréalité, tout est écrit ! Ici les agriculteurs nous montrent uniquement ce qu’ils veulent, c’est de ’la docu-réalité’". Selon l’animatrice, pour une fois, la télévision ne fait "pas seulement se servir des candidats en les abandonnant après dans la nature… c’est le cas de le dire".

Karine Le Marchand estime que le programme leur apporte quelque chose de bonifiant ! Parce que même si les candidats à l’amour ne trouvent pas leur moitié, "livrer devant toute la France un problème intime", représente une véritable thérapie.

Le candidat gay

Dans le même entretien, Karine Le Marchand a évoqué le cas de Thomas, le jeune candidat gay qui est allé jusqu’au bout de l’émission. L’animatrice explique notamment qu’elle voulait personnellement, depuis des années, qu’un homosexuel participe au programme : "j’ai toujours été une militante de la cause gay, et plus globalement des minorités. Je déteste les clichés, peut-être parce que je suis métisse".

La jolie brune de 50 ans estime "anormal" de ne montrer que des agriculteurs hétérosexuels. D’autant, selon elle, que c’est encore plus dur d’être homosexuel en étant agriculteur car dans ce milieu "où l’on parle peu, le cap du coming-out est très difficile à passer".

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