À son bord 150 personnes, dont aucune ne survit. Dès le surlendemain, l’analyse de la première boîte noire ne laisse aucun doute : le copilote de l’avion, un jeune allemand suivi depuis plusieurs années pour dépression, a volontairement précipité la chute de l’appareil.
Les proches des victimes nous confient leur combat pour surmonter ce drame et obtenir réparation, alors qu’aux côtés des habitants des environs de la catastrophe, qui ont fait preuve d’une mobilisation et d’une solidarité exceptionnelle, nous revivrons ces jours, semaines et même mois qui les ont marqués à jamais.